Benjamin aime bien venir traîner au Gold Rush Internet Café. Déjà, parce que c'est un coin tranquille, mais aussi parce qu'il passe de la bonne musique, mais aussi qu'on laisse les gens tranquille sur les pc sans trop leur poser de question. Le plus chiant se sont les flics qui passe de temps en temps pour faire des contrôles, mais le plus souvent, il cherche ceux qui surfent sur les sites pédopornographie. Benjamin lui son truc, c'est le darknet, c'est un peu comme l'internet standard sauf qu'on peu trouver plus de chose que ce que le net a vous offrir. Arme, drogue, sexe... C'est a la porter de tout le monde il suffit juste d'utiliser les bons outils. Aujourd’hui, benjamin piratait les pc de la mairie de Jacksonville. Un journaliste avait appris par des bruits de couloir qu'il y aurait de l'argent sale qui y circulerait. Mais l'homme voulait des preuves avant de balancer la bombe sur le journal. Si Benjamin trouvait quelque chose, il empocherait 2500$ une jolie somme ! Alors qu'il s'approchait doucement des informations rechercher, il découvrait qu'on lui avait balancé un traceur et que l'on remontait a lui. Coupant la connexion, il quittait sa place puis sorti du cybercafé, alors que il entendit les sirènes de police au loin et poursuivent son chemin, il bousculait une jeune femme avant de se rendre compte qu'elle était de la police.
Et voilà, maintenant qu'elle acceptait enfin les sentiments qu'elle ressentait pour Sebastian, celui si à décider de quitter les USA pour retourner en Allemagne, laissant la pauvre Loréna. Heureusement pour elle, la jeune femme arrive à cacher sa peine de son amour perdu et travaille d'arrache pied pour ne pas y penser. Depuis quelques temps, ils traquent des pirates informatique, aujourd'hui ils viennent d'en choper un dans un cyber café et Loréna accompagnée d'autres flics se hâtent de s'y rendre pour essayer de le prendre en flagrant délit. Naturellement une fois qu'ils arrivent, la personne n'est plus devant l'écran, il fallait s'en douter. Dehors avec d'autres collègues, elle regarde autour d'elle quand elle se fait heurter par un homme.
Eh bien, vous me semblez être bien pressé. Elle le regarde de haut en bas. Contrôle d'identité s'il vous plais, montrez moi vos papiers jeune homme.
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Sam 14 Sep - 22:35
Dans la gueule du loup
Ça, c'est bien sa veine ! Il se barre et il se retrouve dans les bras d'une flic, autant lui balancer que c'est lui qu'elle cherchait. Benjamin s'excusait d'avoir bousculé la jeune femme, mais avant qu'il ne put prendre la fuite, la jeune femme lui réclamait ses papiers d’identité. La regardant, il hésitait un instant puis plongeant sa main en poche, il sortit son portefeuille et lui tendit son passeport allemand qui avait été réaliser en secret par Hanne Lindberg et qui était 100% réel avec sa nouvelle identité afin qu'il n'ait pas de problème. Les mains en poche, il restait silencieux laissant la jeune femme l'examiner et regardait de temps en temps autour de lui les policiers qui fessaient des va-et-vient.
Qu'est-ce qui se passe ? Il y a une alerte à la bombe ?
Voilà, il voulait s'enfuir et manque de chance pour lui, il tombe sur Loréna, la fliquette blonde un peu siphonnée qui n'as pas la langue dans sa poche et que tout le monde adore détester ou déteste adorer c'est au choix. La main tendue, elle attend les papiers d'identité du jeune homme et les regarde une fois qu'il les lui à tendu.
Elle regarde le passeport puis le jeune homme. J'aurais du dire Passeporte bitte à ce que je vois. Quand il lui demande si il y à une alerte à la bombe, la jeune femme sourit et lui fait signe de s'approcher. Si vous on le demande, vous n'avez qu'à répondre que vous ne le savez pas. Dit elle avec un clin d'oeil. D'après les dires, vous sortiez du cyber café, vous étiez à quel emplacement ?
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Sam 14 Sep - 22:58
Dans la gueule du loup
Regardant la jeune femme, celle-ci lui parlait en allemand se qui le fit sourire mais a sa demande se qui se passait, elle ne semblait pas du tout bavarde et ne voulu rien lui dire. Bon et bien tant pis... Mais a sa demande où il se trouvait dans le cybercafé, il se senti un peu mal à l'aise.
Heu ben... Je ne sais pas trop.
Dit-il avant qu'elle ne le reconduise dans le cybercafé. Dans la grande salle, il regardait l'endroit et savait où il s'était assis, mais voyant une personne devant le pc entrain de pianoter nerveusement, il comprit que s'était un flic qui essayait de récupérer l'historique des recherches. Mais sentant le regard de la jeune femme qui attendit une réponse, Benjamin désignait le siège non loin du policier. Le mec qui s'y trouvait était venu faire des recherches diverses et avait mater quelques vidéos pornos puis avait disparu avant arriver de la police. À la rigueur peu être, il se fera passer un savon d'avoir regardé des vidéos hot en publique rien de bien méchant.
Loréna ne fait que son travail, même si elle voit que ça à l'air de saouler l'homme, personne n'aime se faire arrêter et contrôler par la police, mais la jeune femme n'as pas le choix. Loréna parle un peu allemand, après tout elle à passer deux ans en Allemagne, forcément elle à apprit la langue, même si elle parlait surtout en anglais. Elle garde le passeport du jeune homme en main et le ramène vers le cyber café.
Hey je sais que je suis blonde, mais faut pas me prendre pour une prune, vous venez à peine de sortir du cyber, vous n'allez pas me dire que vous vous souvenez plus à quel poste vous étiez installé.
Dans le cyber café, elle le laisse regarder les places et attends la réponse.
Parce que. Au faite vous savez qu'il y à des caméras dans le cyber qui nous dirons si vous dites la vérité ou si vous vous fichez de nous.
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Lun 23 Sep - 22:31
Dans la gueule du loup
Benjamin essayait de gagner du temps, mais la jeune femme voulait que il aille avec elle dans le cybercafé. Lui montrant où il avait été assis, il restait silencieux quand elle annonçait la prendre pour une prune. Et parlant des caméras de sécurité, Benjamin regardait dans la direction ou elle se trouvait avant de regarder à nouveau la jeune femme.
Ouai, je sais...
Dit-il en guise de réponse. Oui, il savait qu'il y en avait, mais Jack, le boss du cyber lui avait dit qu'elle était là juste pour dissuader ceux qui voudraient faire des conneries parce qu'en réalité elles ne filmaient rien.
Quand Loréna va savoir que les caméras sont fictives, elle va gueuler sur le propriétaire mais pour l'instant elle s'imagine que les caméras l'ont filmer pendant qu'il était sur sa chaise. Réfléchissant un instant, elle regarde son supérieur qui lui fait un signe qu'elle comprend. Elle rend la carte d'identité au jeune homme.
OK, je garde votre pièce d'identité, vous pouvez revenir la chercher demain au commissariat. En attendant c'est bon, vous pouvez partir. Allez oust.
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Jeu 26 Sep - 22:49
Dans la gueule du loup
À l'annonce de la jeune femme qu'il pouvait partir, mais qu'elle gardait sa pièce d’identité, il fit un signe négatif.
Non, non moi je veux ma pièce identité. Si me fait choper en ville par vos collègues et que je n'ai pas de pièce d'identité, je vais me choper un pv et ça il n'en est pas question ! J'veux bien vous filer n'importe quoi, mais pas mon identité !
Et puis avec la police, on ne sait jamais ce qu'ils vont en faire, il ne veut pas se retrouver dans une banque de données.
Quand il commence à sortir de ses gonds, Loréna le regarde de haut en bas sans sourciller.
Déjà de un on se calme sinon je vous embarque et vous irez faire un tour en cellule de dégrisement pour vous calmez et ça marche pour les têtes brûlés. Et de deux, on ne vous à jamais appris qu'on ne dit pas « je veux » mais je voudrais ? Donc malgré que vous voulez cette carte, je l'as garde avec moi. Elle soupire. Si mes collègues vous choppe, vous n'aurez cas dire qu'ils contacte l'officier Seaver. Mais votre carte vous allez la récupérer demain. Me suis je bien faite comprendre ?
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Mar 1 Oct - 11:53
Dans la gueule du loup
Il se mit a sourire quand elle parlait de cellule de dégrisement parce que il était pas bourrer mais son sourire fut parti quand elle parlait que cela marchait aussi pour les tête brûlée.
Mouai...
Puis lui fessant des leçons de politesse, Benjamin ne lui fit aucune remarque mais la jeune femme ne comptait pas lui rendre sa carte.
Non pas du tout. Selon le manuel de la police au chapitre 88 une personne est obliger de remettre sa carte d’identités à un membre des forces de l'ordre lors de tout contrôle d’identités MAIS l'agent ne peu en aucun cas conserver ni confisquer celui-ci. Sauf en cas de doute sur l’authenticité du document ou de doute de l’identité de la personne. Ce n'est pas le cas alors je voudrais la récupérer officier Seaver.
Si il continue à lui taper sur le système c'est ce que Loréna va faire, lui passer les menottes, appeler une patrouille et le faire embarquer pour allez le mettre en cellule de dégrisement qu'il se calme un peu.
Vous voulez peut être m'apprendre mon métier Mr Engel ? Mais c'est vrai, vous marquez un point. Il se trouve évidement que j'ai un doute sur l’authenticité de votre pièce d'identité, donc vous comprenez que je dois la faire vérifier par mes collègues. Dit Loréna en sortant son calepin et en écrivant dessus l'adresse du commissariat. Donc voilà, vous pouvez la récupérer à cet endroit dès demain matin.
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Sam 5 Oct - 17:17
Dans la gueule du loup
Et bien voilà elle avait trouver une parade pour garder sa carte identifiée. Heureusement pour lui, elle était totalement vraie et officielle. Soupirant, il prit la carte avec l'adresse du commissariat et se doutant qu'il ne la récupère pas, Benjamin quittait la jeune femme.
C'est le lendemain matin qu'il se rendait au commissariat et il faut l'avouer qu'il ne s'y rendait pas avec gaîté de cœur ! Lui les commissariats, c'est comme un chat dans une baignoire d'eau ! Rentrant par la porte d'entrée après que on lui ait ouvert, Benjamin traversait le couloir puis se présentait à l'accueil en expliquant que on lui avait dit de venir. La personne lui demandait de prendre place sur une chaise dans le hall et d'attendre jusqu'à ce qu’on l'appelle.
La prochaine fois il apprendra à se taire tout simplement. Si il n'avait pas souffler à Loréna l'idée que sa carte pouvait être fausse, elle aurait abandonner au bout de quelques minutes, ayant mieux à faire. Mais comme il à jouer sa grande gueule, elle en à profiter et à gagner la première manche. Comme il s'en va, Loréna va rejoindre ses coéquipiers et continuer le travail.
Le lendemain, Loréna est au commissariat, dans son bureau entrain de remplir un rapport quand on lui dit que l'homme est là pour récupérer sa pièce d'identité. Loréna prend le temps de finir son rapport avant de venir et de l'appeler.
Mr Engel s'il vous plais.
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Lun 7 Oct - 11:53
Dans la gueule du loup
Assit sur la chaise, Benjamin trouvait le temps long. Il sortit alors son portable, qui était dans sa poche et le plaçait sur le silencieux avant de se mettre, a « joué » dessus. Quand enfin on fit appelle à lui, il redressait la tête et vit que cela était la demoiselle de hier mademoiselle Loréna Seaver. Oui, il s'était un peu renseigner hier sur la demoiselle et eut accès à certains dossiers. En tout cas, elle avait de bon état de service, de très bonne recommandation de ses supérieurs malgré le fait que la jeune femme avait le sang chaud et n'était pas du genre à se taire quand elle savait qu'elle avait raison. Célibataire, une sœur jumelle et un dossier médicale sensible qu'il n'avait pas réussi a cracker, voilà tout ce qu'il savait sur cette Loréna. Se levant quand elle fit appel a lui, Benjamin rejoignit la demoiselle et lui tendit la main pour la saluée.
Le rapport elle le dépose dans le rack de l'accueil et appelle la personne à qui elle doit rendre la pièce d'identité. Elle ne tarde pas à le voir se lever et s'apprête à lui dire de la suivre pour allez dans le bureau, quand elle voit qu'il lui tend la main. Elle est un peu surprise, il est rare qu'on salue un officier de police en lui serrant la main, mais puisqu'il lui tend la main, elle ne va pas lui faire de vent et la serre en essayant de ne pas mettre sa force habituelle. Bonjour. Vous pouvez me suivre ? Je dois prendre votre déposition de hier et ensuite signer quelques papiers et je vous rendrais votre pièce d'identité. Dit elle en lui emboîtant le pas cette fois pour qu'ils aillent dans le bureau.
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Sam 12 Oct - 18:04
Dans la gueule du loup
Benjamin l'avait peu être mal de devoir venir au commissariat pour venir chercher sa carte d'identité, mais il restait tout de même poli. Serrant la main de la jeune femme même si celle-ci n'y mettait pas de force, il sentait tout de même qu'elle avait une main ferme pour une femme.
Après l’avoir salué, elle lui expliquait ce qu'elle voulait faire avec lui avant de lui rendre sa carte d’identité. Soupirant il fit un signe positif
D'accord.
Dit-il avant de suivi la jeune femme jusqu'au bureau. Entrant, il prit place sur un des siège puis silencieux Benjamin la regardait entendant la suite.
Elle à de la force, c'est pas pour rien qu'elle fait de la musculation et du sport, elle veut pouvoir se défendre contre des baraques si elle en à besoin. Après les salutations, elle l'invite à le suivre dans un bureau et à prendre place une fois qu'ils sont à l'intérieur. Elle, elle se met au bureau bien entendu et allume le pc. Elle laisse la carte d'identité du jeune homme bien en vue, de façon à lui faire comprendre qu'elle va lui rendre une fois qu'ils auront finit.
Bien, alors on va recommencer la journée de hier. J'aimerais que vous me racontiez ce que vous faisiez au cyber café, à quelle place exactement vous étiez installé, bref tout ce que vous vous souvenez de ce qui s'est passé la bas.
Mais tout d'abord, il faudrait que vous déclinez votre identité. Nom, prénom, date de naissance, âge, adresse s'il vous plais.
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Lun 14 Oct - 15:48
Dans la gueule du loup
Assit Benjamin reste silencieux observant la jeune femme allumé son ordinateur. Voyant sa carte d’identité, il ne la touchait pas il se doutait que cela ne sera pas aussi facile pour la récupérer. A la demande de la jeune femme de lui expliquer a nouveau la journée de hier mais avant tout de décliner son identité Benjamin fit un signe positif.
D'accord... Engel, e.n.g.e.l Benjamin. Né le dix février mille neuf cent quatre-vingt-huit à Berlin-Est dans Arrondissement de Mitte. J'ai trente et un ans.huit mille cinq cent trente deux Regency Square boulevard Jacksonville.
Il attendit que la policière ait terminer d'écrire avant de poursuivre.
J'étais assit là où je vous ait montré. Je suis sorti du cybercafé, pour aller manger un morceau quand vous êtes tombé sur moi.
Pendant qu'il commence à parler, Loréna l'écoute et note tout ce qu'il dit.
D'accord merci et que faite vous dans la vie ? Demande t-elle en terminant de noter l'adresse qu'il lui à donner.
Elle sourit.
Quand je suis tombée sur vous ? Ça ne serait pas plutôt vu qui m'avais heurté par hasard ? Demande t-elle sans méchanceté mais juste pour rétablir les choses.
Des choses très intéressantes. Naturellement vous comprenez que je ne peux rien vous dire. Comme si elle allait lui dire que les caméras n'étaient pas branchées.
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Ven 25 Oct - 17:35
Dans la gueule du loup
Benjamin la regardait taper sur le clavier de l'ordinateur. À sa demande ce qu'il fessait dans la vie, il fit une grimace.
Je bossais dans un magasin d'informatique, mais le gérant a mis la clé sous la porte.
Il est vrai qu'il lui avait presque déboulé dans les bras et non le contraire, mais c'est vrai qu'elle lui avait presque mit le grappin sur lui si elle serait arrivée plus rapidement. Et a sa phrase, il souriait.
Ouai, c'est vrai...
Parlant de la camera, Benjamin restait silencieux, mais il ne put se retenir de sourire la voyant lui faire croire qu'elle avait vu des choses intéressante.
Je vais vous croire. En fait, vous avez rien dus tout parce que les caméras n'étaient pas connectées pas vrai ?
Tout en l'écoutant, elle finit de taper ce qu'il dit.
Ok donc vous êtes au chômage, alors je vous souhaite bon courage pour trouver enfin retrouver un travail, je ne sais que trop combien c'est difficile de nos jours.
Elle prend une petite pause et ouvre la fenêtre, elle finit par s'allumer une cigarette et reste près de la fenêtre pour la fumer.
La prochaine fois regarder où vous allez. Cela vous évitera un nouvel accident ou de rentrer dans une flic. Dit elle avant qu'il ne recommence à lui parler de la caméra. Je vous l'ai dis, vous comprendrez que je ne peux rien vous dire sur ce que nous y avons trouver. Elle regarde l'heure sur sa montre. Je vous libère dans quelques minutes.
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Mar 14 Jan - 8:29
Dans la gueule du loup
Quand elle le souhaitait bonne chance pour trouver un job, il lui fit un sourire.
Je ne m'en fais pas, des informaticiens, il en faut toujours surtout que dans le monde actuel il y a tellement de chose gérer par un ordinateur. Bientôt, ce sera des robots à intelligence artificiel qui s'occuperont des arrestations.
Lançait-il en lui souriant. Faire attention, c'est ce qu'il fait d’habitude, mais cette fois, on pouvait dire que cela était une erreur de parcours. Benjamin voulait savoir au sujet des caméra même s'il savait qu'il y avait rien en tirer, mais la jeune policière comptait ne rien lui dire.
D'accord, je comprends...
Parlant de le lâcher bientôt, il fit un signe positif.
Alors ça sera parfait, je pourrais m'occuper d'affaires plus importante qu'une simple arrestation à deux balles. Dit elle en soupirant.
Bien sur qu'elle ne va rien dire. Même si elle à bien comprit qu'il devait être au courant que les caméras ne sont là que pour faire jolie. Sinon il n'insisterait pas autant. Elle hoche la tête doucement.
C'est une bonne chose que vous comprenez. Rajoute t-elle avant de se lever pour allez ranger le dossier sur le bureau et attendre le feu vert de son chef pour le laisser partir. Mais sa question la surprend.
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